Je rate, tu rates, il arlt. | C’est à se demander si avec son Écrivain raté (1932), Roberto Arlt ne souhaitait pas régler quelques comptes, après Les Sept fous (1929) et Les Lance-flammes (1931) qui l’ont fait éclore en tant qu’écrivain « réussi », quelques comptes avec le « milieu » et surtout avec lui-même. (Réussi : c’est à dire…
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